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L'année 2020 a été l'une des plus terrifiantes pour l'humanité, en grande partie grâce aux médias traditionnels.

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Liste non exhaustive des peurs relatives au coronarivus :

Peur de mourir d'une infection au SRAS-Cov2.

Peur de contaminer ses proches.

Peur de voir ses proches mourir du SARS-Cov2.

Peur de la saturation des hôpitaux.

Peur de cocher la mauvaise case sur l'attestation de déplacement.

Peur du nombre exponentiel de cas positifs.

Peur d'avoir oublié son masque.

Peur de la deuxième vague.

Peur des « rassuristes».

Peur du priapisme.

Peur de ne pas arriver chez soi avant l'heure du couvre-feu.

Peur de se réunir à Noël.

Peur du « variant britannique ». (appelé aussi variant Alpha)

Peur du « double mutant indien ». (appelé aussi variant Delta)

Peur de la souche hybridequi combine variant britannique et double-mutant indien détectée au Vietnam.

Peur des variants californien et breton.

Peur de la troisième vague.

Peur de la mutation E484K identifiée dans les variants Beta, Gamma, Iota et Êta.

Peur du « syndrôme du vacciné ».

Peur du « champignon» noir.

Peur des variants Lambda, Delta Plus et Mu, dont les mutations présentent un risque « d'échappement immunitaire ».

Peur de la quatrième vague.

Peur du « syndrôme de l'anus sans repos »

Peur de la cinquième vague.

Peur de voir son pass sanitaire invalidé.

Peur du variant Omicron.

Peur des sous-variants du variant Omicron.

Peur de la sixième vague.

Peur de la neuvième vague.

Et surtout, probablement le plus terrifiant : peur des fausses informations entourant la pandémie de COVID-19.

Le 25 juin 2020 - soit à peine un mois après la fin du premier confinement français de l'Histoire - l'ancien présentateur du journal de 20h de France 2, Monsieur David Pujadas, explique de manière parfaitement détendue que les médias ont fait peur aux français en grande partie pour des raisons commerciales :

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L'homme qui fut longtemps surnommé Playmobil a le mérite de mettre le doigt sur un sujet pertinent mais il est fort dommage de ne pas le voir pousser plus loin la réflexion. Les personnes qui prennent le parti d'effrayer 67 millions de français pour des raisons commerciales sont-elles un danger pour la société ?

En mai 2021, le Daily Telegraph (journal crée en 1855) apporte son éclairage sur le sujet en publiant les propos de deux membres du Scientific Pandemic Influenza Group (équivalent britannique du Conseil Scientifique français). Les scientifiques reviennent sur la manière dont le gouvernement de Boris Johnson a instrumentalisé la peur au début de la crise du COVID-19 pour que les citoyens anglais obéissent :  

« Il y a eu des débats sur la nécessité d’instaurer la peur afin d’encourager l’acceptabilité et des décisions ont été prises sur la manière dont il fallait accroître la peur. »
« Il est clair que recourir à la peur comme moyen de contrôle est contraire à l'éthique. L'usage de la peur sent le totalitarisme. Ce n'est pas une attitude éthique digne d'un gouvernement moderne. »

Lorsqu'un gouvernement lance une opération psychologique [PSY OP] sur sa propre population, il ne fait pas d'annonce officielle au préalable.

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