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Durant l'été 2020, de nombreux chevaux sont mutilés en France mais pour certains, ce phénomène n'a jamais existé.

En juillet 2020, c'est la stupeur en France. Le COVID a disparu pour l'été mais un autre sujet glaçant fait la une de la presse :

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Le journal Midi Libre va plus loin dans la description de l'affaire :

D'après le SRCT, ces tueurs de chevaux ne seraient pas des amateurs

Le titre de l'article évoque un « gang de tueur de chevaux », expression reprise par Le Point, Europe 1, Le Parisien, RTL et BFMTV.

En août 2020, le journal Ouest-France fait mention de tortures similaires sur des chevaux en Allemagne :

« Alors qu’un "gang de tueurs de chevaux" qui a mutilé et tué une dizaine d’équidés à ce jour sévit en France, des actes de barbaries envers ces animaux sont également signalés de l’autre côté du Rhin. »

Presque trois ans plus tard, les propriétaires d'équidés peuvent dormir sur leurs deux oreilles. Aucun gang de tueurs, aucune secte satanique ! En effet, d'après le journal le Monde, ces mutilations de chevaux en 2020 n'étaient qu'une « psychose collective » et Damien Leloup, journaliste au Monde, affirme que cet évènement se rapproche d'autres cas de psychoses collectives ayant déjà eu lieu auparavant. Pour expliquer ces morts de chevaux, Leloup a des cibles dans le viseur et il ne faut pas chercher bien loin pour les trouver : la mort par cause naturelle et les charognards.

Merci à tous les médias cités plus haut pour avoir alimenté la psychose collective.

Jusqu'à présent, le Service Central du renseignement territorial n'a pas précisé si ces charognards étaient des amateurs ou des professionnels.

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